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Idées reçues sur Marie-Antoinette
Incarnant un XVIIIe siècle parfaitement idéalisé, Marie-Antoinette, trajectoire féminine et royale peu commune, suscite de nombreuses idées reçues. Elle est, au choix, la reine guillotinée, l’Autrichienne, la femme coquette jouant à la bergère, l’épouse infidèle, la mère attentive et moderne, la femme dépensière qui aurait vidé les caisses de l’État, la victime de la Révolution… Autant d’idées révélatrices des tensions accumulées à la veille de la Révolution, autant de fantasmes qui perdureront avec le temps.
Récemment, elle est enfin devenue un objet historique, un miroir de la société et de ses affects, ainsi que de la place publique accordée aux femmes. La recherche historique autour de la reine et de la femme nous aide ainsi à appréhender un passé complexe, celui de la fin de l’Ancien Régime et de la Révolution française.
Cécile Berly est historienne, spécialiste du XVIIIe siècle.
Sommaire
Introduction
La femme et la mère
« Marie-Antoinette est l’Autrichienne. »
« Marie-Antoinette a eu des relations compliquées avec sa mère l’impératrice. »
« Marie-Antoinette a été une mère admirable et moderne. »
« Marie-Antoinette fut une « tête à vent ». »
Le plaisir de vivre
« Marie-Antoinette jouait à la bergère. »
« Marie-Antoinette est la reine de la mode. »
« Marie-Antoinette est « Madame Déficit ». »
« Marie-Antoinette a dit : « S’ils n’ont pas de pain, qu’ils mangent de la brioche ! ». »
Une reine en politique
« Marie-Antoinette est l’instigatrice de l’affaire du collier. »
« Marie-Antoinette a précipité la chute de la monarchie. »
« Marie-Antoinette a eu un procès inique. »
« Marie-Antoinette est LA victime de la Révolution française. »
Conclusion
Annexes
Glossaire
Pour aller plus loin